mercredi, novembre 30, 2005

Penser à autre chose, panser autre chose.

Ça m'a fait du bien.

Hier, On a parlé longtemps, de tout et de rien. Pour la première fois depuis longtemps on a parlé de rien. ça fait du bien, on retrouve nos manies de discution, on se retrouve, l'espace d'un instant, presque là au complet... pis ça fait du bien. Ma journée a été ordinaire. Ordinaire c'est bien, ordinaire c'est mieu qu'avant. Aujoud'hui je n'ai pas penser à quitter mon travail en le fesant. Ça fesait longtemps. Je chantais. Chanter c'est bien.

On a parlé longtemps, de tout et de rien... pour la première fois depuis longtemps on a parlé de rien. c'est pas le rien qui est important. D'ailleurs c'est rien... rien c'est jamais quelquechoses... c'est comme tout...

Pour la première fois depuis longtemps on a parlé de rien... vous savez, ça fait du bien. Puis on a parlé de choses importantes, et on a repris nos habitudes, nos manies comme si on était à moitié plein... plein de la moitié de l'autre. Et les choses importantes sont restés importantes... c'est mieu que rien. c'est comme tout.


tout était plus mieu aujourd'hui. Demain est un autre tout...

dimanche, novembre 27, 2005

Je t'emmerdes ! (ou, comment l'entier se vide le coeur)

Je t'emmerde frangin,

Je sais pu quoi te dire. Encore moins depuis que j'ai finalement décourvert ton blog.

Ça me fait chier que tu tombe de si haut. La différence entre toi et moi c'est que tu as l'air d'avoir juste focalisé sur moi dans les dernières années alors que pendant les sessions de cégep on se voyait peu, pour ne pas dire qu'on ne se voyait pas du tout. Même chose quand tu allais skier à Sutton, je te voyais à peine. Moi je compensais, pas que tu étais remplaçable au contraire, mais que je focalisais ailleur lorsque tu n'étais plus là. Cette année je me réjouïssais alors que j'allai probablement passé l'hivers avec toi.

Mais il est arrivé "la" chose. Le commencement de ta chute, ou plutôt ce qui t'y a précipité. Alors au lieu de recoller les morceaux j'ai l'impression que ce qui se passe c'est une accélération de cette cission entre nos deux mondes. Tu fesait partie de l'entier, en tant que bonne grosse moitié. Personne n'a eu plus d'influence que toi sur ma vie. Ça en fesait sacrer les autres. Ça en fesait sacrer Ma petite dinde à moi qui parfois avait l'impression que je n'existait pas à part entière et que je copiais ma personnalité sur la tienne sans distinction. Ça a fait sacrer le théoricien qui n'avait jamais foie en nos projets. Tu étais tellement encré en moi que tous le monde venait à ne plus faire la différence entre toi et moi...

Tu es toujours tellement encré en moi que tous le monde viens à ne plus faire la différence.

Et puis, à cause d'un constat de ta part. Le constat du fait que tu n'était pas mon entier, mais ma moitié(car c'est comme cela que je voit ton constat peu importe comment tu l'expose). Tout chavire. La réalité n'y est pour pas grand chose, juste le constat. Le constat éronné puisque tu te considère inférieur. Peut-être un constat de jalousie. L'herbe est toujours plus verte chez le voisin. Moi aussi j'était jaloux frangin. Un constat de désespoire? mais c'est toi qui a le plus foi en l'avenir. Un constat de solitude? la foule de personne qui constitut mon entourage ne te conaisse que par moi, et maintenant que je suis à moitié vide elle ne te conaisse plus... alors dans ce combat... je suis tout aussi seul.

Alors je ne comprend pas... je ne pensait pas notre amitié, notre consanguinité si friable. Peut-être étais-je plus encré en toi que tu ne l'était en moi. Si c'était le cas, et si j'était enracinné de manière à ce que ton être ne sois plus en majorité en toi, sache alors qu'il forme bel et bien la moitié de moi.

Je savais... je le savais au plus profond de moi que tu avais pleuré... Même si après tout le reste tu croyais en être incapable. Je savais que tu avais pleuré, car la douleur que je ressentais, et que je ressent toujours ne pouvait être unidirectionnel.

Alors je t'emmerde frangin. Je t'emmerde gros comme le ciel. Je veux pas que la cission se complète, et je t'interdit de tout faire pour que ça se fasse.

Alors je t'emmerde frangin, je t'emmerde gros comme le ciel.

samedi, novembre 26, 2005

Panthéon / Tableau de la honte de la semaine.

Panthéon

-Ma petite dinde à moi qui me supporte même si je doit pas être facile à vivre en ce moment.

-Ma petite dinde à moi qui a Archie à supporter en plus de moi même.

-Mini Oli pour m'avoir appris un jeu de main très amusant.

-Ma petite prune pour ne pas avoir choké.

-Mon petit pénis pour son texte sur la libido québecoise.

-Atlas, pour compenser le manque de compassion que j'ai eu pour ma soeur illégitime.

-Mon petit pénis, Legolas et moi pour avoir traversé et pissé sur le pont Jacques-Cartier en pleine nuit.

-Ma soeur légitime pour avoir été sympa avec moi cette semaine.

-Vinny Gambinny pour m'avoir souhaiter bonne fête alors que je ne l'avais pas vu depuis des décénies.


Tableau de la honte

-Legolas pour avoir dit en revenant de l'authentique(à Montréal): "Hey les gars, on retournes-tu au char à pied?" Alors qu'il fesait -10 Qu'il ventais, et que le char en question était à Longueuil.

-Mon petit pénis et moi pour avoir dit: "ouais ça pourrait être cool"

-Moi pour avoir gâcher la plus grande amitié de ma vie.

-Moi pour n'avoir rien fait pour recoller les morceaux.

-Moi pour avoir rêver que je fesais un pipe à Legolas.

-Moi pour l'avoir crié sur tous les toit.

-Les barières anti-suicide du pont pour être si inefficace.

-Moi pour brailler tout le temps.

-Sprue pour avoir eu 35% dans l'exam d'astrophysique.

-Moi pour m'être vanté de l'avoir battue avec 51%

-Le film Madagascar pour faire des allusions si peu discrètes à ma vie.

-Moi pour être un connard.

-Moi pour consacrer ma soirée à me mettre tout plein de fois dans le tableau de la honte de mon propre blog.

-Tout le monde qui était à l'authentique jeudi dernier pour pas avoir "cutté" assé.

-Archie (j'ai vraiment besoin de me justifié?)

Bilan

Mouais.... beaucoup trop de Moi dans le tableau de la honte.

lundi, novembre 21, 2005

21 Novembre, bonne fête Steven Chabot

Post gratuit #2

samedi, novembre 19, 2005

Le roi Babouchkin

Il était une foi un grand roi. Le roi Babouchkin. Le roi Babouchkin organisa un grand grand banquet. Il invita des tous les gens de son royaume, leur envoyant des cartes parfumer auxquels on ne pouvait résister. Tout le monde s'habilla de leurs plus beaux habits. Les plus grand chevalier s'entraînaient pour les jeux qui devaient nécessairement accompagner le banquet.

Le roi fit venir des animaux exotique de partout à travers la planète. Il fit remplir un lac (environ 6 millions de chamoimeau) de vin. Il fit tuer 10 milles cerf, 30 milles perdrix, 45 milles fesants, 60 milles poulets, 12 milles porc, 2 mille chevaux et 2 canards. Il réquisitionna des champs et des champs de légumes pour agrémanter le repas. Le roi Babouchkin voulait que ce banquet soit le plus délicieu jamais préparé pour son peuple, car il aimait son peuple.

Le peuple était tout excité. Après avoir choisi leurs vêtements, ils décidèrent de chacun offrir un cadeau au roi pour le remercier. Bijoux, bottes, capes, desserts et même les plus beau enfant de leurs familles, rien ne serait assé beau.

Une journée avant le banquet l'excitation était à son comple. Tout le monde dans le royaume fesait les cents pas. On entendait des chamts de joie partout à travers les bourgs.

Mais le roi mouru avant que le banquet soit donné, et il fut remplacé par un autre.

fin

jeudi, novembre 17, 2005

Le voleur d'identité

Faites attention au voleur d'indentité. Il détruira votre vie en moin de deux. Pire que votre vie, il emboutiera votre identité. Ses trois dernière vivtime? Son frère (rêve transpercé à coup de crainte et d'égoïsme), Son ami (infesté par une maladie qui draine toutes les forces de ce dernier.) et son Ex (terassé à grand coup de dépression majeur.)

faites attention, le prochain pourrait bien être vous...

vendredi, novembre 11, 2005

Le Connard

Vous vous souvenez de la Nouvelle ?

Et bien, je défesais des boîtes en cartons quand tout-à-coup des sanglots se firent entendres. Je m'approcha donc de la porte des toilettes. "Ça va? Nouvelle? ça va bien?" Elle ouvra la porte les yeux rougit pour me dibiter son histoire: Son copain venait de lui annoncer qu'il avait mis enceinte une autre fille avec qui il l'avait trompé (pas pour la première fois apparament). Il y en a des connards dans le monde.

Parfois les choses s'éclaircissent d'elles même. Je suis désolé d'avoir été si impitoyable face à ton attitude si compréhensible...

Il y en a des connards dans le monde...Cette fois c'était mon tour.

mercredi, novembre 09, 2005

Je veux cesser de pleurer.

post gratuit.

mardi, novembre 08, 2005

Dans la peau d'un étranger.

Vous savez ya des jours où l'on se sens quelqu'un d'autre.

Ce soir je me suis senti fumeur boulimique cacaoïnomane(à ne pas confondre avec cocaïnomane.)

lundi, novembre 07, 2005

Whéeee euu....

intérieur / jour / une asso obscure du CÉGEP


Whéeee euuu.... Moi j'en ai rien à foutre de l'autre glauque qui se ballade là. Il a qu'a aller se faire foutre.

1 - je suis pas déguisé, et 2 - je ne suis surement pas habillé en pirate mais en toréador croupier. Fuck off celui qui veut pas que je me promène pieds nue. Un gros doigts pas beau au prof qui m'a dévisagé dans le couloire et j'encule le mec avec un peigne de planter dans sa belle grosse tignasse sale et frisé qui me dit que je sais pas m'habiller pis que j'ai pas de style.

Je les noie tous, du lait maternel qui gicle de mes tétons. Mourrez tous d'asphixie sous le poids de cette montée de lait. Montez sur vos grands cheveaux à la montée de mon excentrisme et je vous monterai vous punissant de la verge vengeresse et de l'ivresse ignoble de ma vengeance. Lisez dans mon regards les crachas de ces lignes qui vous puent au nez devant votre incompréhension de mon être.

Whhéééeeee euuu... je ne suis pas déguisé. Rien à foutre!

vendredi, novembre 04, 2005

Deux prunes, trois carottes et beaucoup trop de laitu.

extérieur / nuit / sur le perron du théatre de la ville

Mouais, ça commence par deux prunes. Tu les prends, tu les jettes dans un grand bain de bière et de toute sorte de légume. Vous savez, les prunes, comment c'est fait. Avec une petite peau si fine, si fragile. Un accro sur une prune c'est grave, et ça se recolle pas. Ce soir là nous, les deux prunes, avions chacun un gros accro et notre chair mise à vif se répendait sur le sol. Sur le Sol, le Mi et le Ré. Pour soigner nos blessure nous décidâmes de s'éloigner de la mélodie et des obcéniitées.

Trois carottes. Vous savez les carottes, c'est un peu trop orange, et beaucoup trop long. Comme la lueur d'un lampadaire meutrier qui éclaire beaucoup trop l'ombre que l'on ne veut pas voire. Trois d'entre elles meublaient le décors. Trois grandes carottes.

Pis pas mal trop de laitue. Vous savez comment c'est la laitue. Quand on la met sous l'eau c'est tout sauf une éponge, on la rince, et on a beau l'essorer il y a toujours de l'eau dessu. De l'eau qui perle, qui glisse. Glisse, lisse, isse, douce, mousse, glousse. Glousse comme le fin gosier de la prune, la prune qui a la peau beaucoup trop fine, sur laquelle perle beaucoup trop des larmes de la laitue sous la lumière oranger de nos carottes-lampadaires.

Le Sol le Mi et le Ré son pour toi.

Explication

intérieur / nuit / dans un bureau devant un ordinateur.

Ça fait longtemps que j'avait pas écrit sur mon blog, ce n'est pas parceque je n'en avais pas envie mais parceque ce que je voulais écrire n'étai pas à propos d'une personne en particulier, alors je viens de décider de changer la teneur et la substance de mon blog. Maintenant c'est du tout et n'importe quoi. Banal non? Fuck you! ;-)