Je t'emmerdes ! (ou, comment l'entier se vide le coeur)
Je t'emmerde frangin,
Je sais pu quoi te dire. Encore moins depuis que j'ai finalement décourvert ton blog.
Ça me fait chier que tu tombe de si haut. La différence entre toi et moi c'est que tu as l'air d'avoir juste focalisé sur moi dans les dernières années alors que pendant les sessions de cégep on se voyait peu, pour ne pas dire qu'on ne se voyait pas du tout. Même chose quand tu allais skier à Sutton, je te voyais à peine. Moi je compensais, pas que tu étais remplaçable au contraire, mais que je focalisais ailleur lorsque tu n'étais plus là. Cette année je me réjouïssais alors que j'allai probablement passé l'hivers avec toi.
Mais il est arrivé "la" chose. Le commencement de ta chute, ou plutôt ce qui t'y a précipité. Alors au lieu de recoller les morceaux j'ai l'impression que ce qui se passe c'est une accélération de cette cission entre nos deux mondes. Tu fesait partie de l'entier, en tant que bonne grosse moitié. Personne n'a eu plus d'influence que toi sur ma vie. Ça en fesait sacrer les autres. Ça en fesait sacrer Ma petite dinde à moi qui parfois avait l'impression que je n'existait pas à part entière et que je copiais ma personnalité sur la tienne sans distinction. Ça a fait sacrer le théoricien qui n'avait jamais foie en nos projets. Tu étais tellement encré en moi que tous le monde venait à ne plus faire la différence entre toi et moi...
Tu es toujours tellement encré en moi que tous le monde viens à ne plus faire la différence.
Et puis, à cause d'un constat de ta part. Le constat du fait que tu n'était pas mon entier, mais ma moitié(car c'est comme cela que je voit ton constat peu importe comment tu l'expose). Tout chavire. La réalité n'y est pour pas grand chose, juste le constat. Le constat éronné puisque tu te considère inférieur. Peut-être un constat de jalousie. L'herbe est toujours plus verte chez le voisin. Moi aussi j'était jaloux frangin. Un constat de désespoire? mais c'est toi qui a le plus foi en l'avenir. Un constat de solitude? la foule de personne qui constitut mon entourage ne te conaisse que par moi, et maintenant que je suis à moitié vide elle ne te conaisse plus... alors dans ce combat... je suis tout aussi seul.
Alors je ne comprend pas... je ne pensait pas notre amitié, notre consanguinité si friable. Peut-être étais-je plus encré en toi que tu ne l'était en moi. Si c'était le cas, et si j'était enracinné de manière à ce que ton être ne sois plus en majorité en toi, sache alors qu'il forme bel et bien la moitié de moi.
Je savais... je le savais au plus profond de moi que tu avais pleuré... Même si après tout le reste tu croyais en être incapable. Je savais que tu avais pleuré, car la douleur que je ressentais, et que je ressent toujours ne pouvait être unidirectionnel.
Alors je t'emmerde frangin. Je t'emmerde gros comme le ciel. Je veux pas que la cission se complète, et je t'interdit de tout faire pour que ça se fasse.
Alors je t'emmerde frangin, je t'emmerde gros comme le ciel.
Je sais pu quoi te dire. Encore moins depuis que j'ai finalement décourvert ton blog.
Ça me fait chier que tu tombe de si haut. La différence entre toi et moi c'est que tu as l'air d'avoir juste focalisé sur moi dans les dernières années alors que pendant les sessions de cégep on se voyait peu, pour ne pas dire qu'on ne se voyait pas du tout. Même chose quand tu allais skier à Sutton, je te voyais à peine. Moi je compensais, pas que tu étais remplaçable au contraire, mais que je focalisais ailleur lorsque tu n'étais plus là. Cette année je me réjouïssais alors que j'allai probablement passé l'hivers avec toi.
Mais il est arrivé "la" chose. Le commencement de ta chute, ou plutôt ce qui t'y a précipité. Alors au lieu de recoller les morceaux j'ai l'impression que ce qui se passe c'est une accélération de cette cission entre nos deux mondes. Tu fesait partie de l'entier, en tant que bonne grosse moitié. Personne n'a eu plus d'influence que toi sur ma vie. Ça en fesait sacrer les autres. Ça en fesait sacrer Ma petite dinde à moi qui parfois avait l'impression que je n'existait pas à part entière et que je copiais ma personnalité sur la tienne sans distinction. Ça a fait sacrer le théoricien qui n'avait jamais foie en nos projets. Tu étais tellement encré en moi que tous le monde venait à ne plus faire la différence entre toi et moi...
Tu es toujours tellement encré en moi que tous le monde viens à ne plus faire la différence.
Et puis, à cause d'un constat de ta part. Le constat du fait que tu n'était pas mon entier, mais ma moitié(car c'est comme cela que je voit ton constat peu importe comment tu l'expose). Tout chavire. La réalité n'y est pour pas grand chose, juste le constat. Le constat éronné puisque tu te considère inférieur. Peut-être un constat de jalousie. L'herbe est toujours plus verte chez le voisin. Moi aussi j'était jaloux frangin. Un constat de désespoire? mais c'est toi qui a le plus foi en l'avenir. Un constat de solitude? la foule de personne qui constitut mon entourage ne te conaisse que par moi, et maintenant que je suis à moitié vide elle ne te conaisse plus... alors dans ce combat... je suis tout aussi seul.
Alors je ne comprend pas... je ne pensait pas notre amitié, notre consanguinité si friable. Peut-être étais-je plus encré en toi que tu ne l'était en moi. Si c'était le cas, et si j'était enracinné de manière à ce que ton être ne sois plus en majorité en toi, sache alors qu'il forme bel et bien la moitié de moi.
Je savais... je le savais au plus profond de moi que tu avais pleuré... Même si après tout le reste tu croyais en être incapable. Je savais que tu avais pleuré, car la douleur que je ressentais, et que je ressent toujours ne pouvait être unidirectionnel.
Alors je t'emmerde frangin. Je t'emmerde gros comme le ciel. Je veux pas que la cission se complète, et je t'interdit de tout faire pour que ça se fasse.
Alors je t'emmerde frangin, je t'emmerde gros comme le ciel.
2 Comments:
Parler-vous bordel, y'é vraiment temps...vous êtes juste trop borné tous les 2. Écrire simplement sur vos blogs changeras rien.
Pour la gouverne de Anonyme, je trouve déplacer de nous traiter de borné tous les deux. On se parle sur msn à chaque fois que l'on se croise. Ce n'est pas du tout comme si on se boudais. La question est beaucoup plus profonde que q'une chicane superficiel.
pour rester dans l'esprit du texte: je t'emmerde anonyme, et je trouve ton post insultant.
sans rancune puisque tu reste anonyme :p
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