vendredi, juin 30, 2006

Retour à la vérité.

Il y a le sommeil. Ça c'est quand on dort.
Il y a ne pas dormir. Ça c'est le pas sommeil.

Alors quand on est en état de pas sommeil mais que c'est l'heure de dormir et bien c'est pas une bonne idée. Quand on dors pas on peut pas rêver, alors il faut regarder (ou entendre, ou sentir, ou gouter.) Alors que lorsque tu dort tu peut atteindre la vérité. En état de pas sommeil, on reste dans le mensonge parcequ'on intéragit avec le monde extérieur. Le retour à la vérité c'est le retour à soi-même. C'est ne pas communiquer et ne pas laisser ni le monde ni notre environnement commmuniquer avec nous. Le retour à la vérité c'est donc une bonne et longue nuit de sommeil parsemmée de rêves, de soi-même. Des petits nous un peu partout, des petits nous dans la tête. Des petits nous dans les mains dans le corps et les jambes.

Il y a dormir. Ça c'est le sommeil.
Il y a le pas sommeil. Ça c'est quand on dort pas.

dimanche, juin 25, 2006

Jamais assé...

... de chevilles foulées.

samedi, juin 24, 2006

Il y a beaucoup trop...

d'alchool dans ma tête.

vendredi, juin 23, 2006

il manque...

de choses sans conditionnel...

mercredi, juin 21, 2006

Quand je serai grand...

Quand je serai grand je serai noir de peau. J'aurai un beau tux blanc dans lequel j'aurai un corp de sur-homme.
Quand je serai grand je serai riche, pour ne pas travailler.
Quand je serai grand je serai riche, pour pouvoir donner.
Quand je serai grand je serai plus grand que mon papa et que ma maman.
Quand je serai grand j'apprendrait à conduire une voiture et une moto.
Quand je serai grand j'aurai des tonnes d'enfants.
Quand je serai grand je serai roi du monde.
Quand je serai grand je serai prince de l'univers.
Quand je serai grand je serai pompir, pour sauver des vie.
Quand je serai grand je serai pompier, pour jouer avec le feu.
Quand je serai grand je serai pompier, pour porter un casque rouge rouge rouge.
Quand je serai grand je serai bon.
Quand je serai grand je serai beau.
Quand je serai grand je serai grand, beau et bon.
Quand je serai grand... je suis grand...

Quand j'étais petit j'étais un rêveur. Peut-être ai-je le temps de grandir encore un peu...

vendredi, juin 16, 2006

Une guitare basse fretless

C'est quelquechose de vraiment étrange. En tenir une dans ses mains, en jouer, s'approprier son son sans s'approprier l'objet.

J'ai fait l'amour à la guitar basse fretless de mon viel ami.
Puis, assoifé de plaisirs ludiques je me suis donné à sa guitare acoustique Norman. J'ai joué Wish You Where Here en pensant à ma portée disparue Tradition bleu aux cordes sensibles, aux cordes dorées.

La musique c'est sacré. Meurt voleur de liberté. Meurt Violeur de liberté.



p.s.: Dédicace à Prune et à moi-même. Après s'être fait buster nos instruments, on se rend compte qu'on s'est fait buster une partie de soi. Après 3 semaines on commence à réaliser. «We're just two lost soul swimming in a fish bowl, year after year.»

samedi, juin 10, 2006

Problèmes d'imagination olfactive

Cette nuit, j'ai tenté de me souvenir d'un parfum. Je me suis réveillé en pleine nuit rempli d'images, de souvenirs et de sensations.

C'était un instant. Un instant ludique. Faire peur à quelqu'un. Surprendre une amie. Il y a longtemps. J'ai cherché ce moment. Couleurs ocres.

Il était une fois une odeur perdu. Je l'ai cherché toute une nuit. Caché dans la brume. Caché derière la brume. Un parfum de jeu. Un parfum parfait. Il se cachait. Couleurs pastelles

Ce parfum d'enfant n'est pas innaccessible, je m'en souvient. Ma tête s'en souviens. Mes narines non. Mes narines s'ennuient de ce parfum. Anticipe de s'ennuyer de ce parfum. Sans couleurs.

Je sais que je retrouverais ce parfum un jour. Ce jour là, je ne me gènerais pas pour le humer comme si c'était la dernière fois. Pour qu'il reste imprégné dans mes narines plusieurs minutes, plusieurs heures, plusieurs années, plusieurs vies. Couleurs turquoises. Couleurs rose. Couleurs orange. Du blanc très très pure aussi.

mercredi, juin 07, 2006

N'oublie pas.

Ce soir, pour rentrer chez toi, tu ne prendra pas le chemin le plus rapide mais celui que tu trouve le plus amusant, le plus beau et qui te sera le plus agréable.

Et n'oublie pas, à ton retour, ne me parle pas de ton voyage, mais de comment ta vie, notre vie, est lorsqu'elle est vue de là bas.




p.s.: Je vous aime les gars, bon voyage.

dimanche, juin 04, 2006

« Il y a rien faire

par moment, regarder le monde à l'envers, croire en tout... en l'éphémère. »



p.s.: Il serai temps que je mette mes link à jour... ahhhhhh... plus tard...



*Louise Attaque