samedi, décembre 31, 2005

Photo

Je prend le temps de prendre une photo des gens à qui j'ai pensée dans les dernier 2 minutes.

Ma petite dinde à moi
Le magicien
Prune
Ma soeur illégitime
Mon frangin prince de l'univers
Legolas
Ma soeur légitime


Aujourd'hui je ne réfléchit pas, je ne tire pas de conclusion.
Aujourd'hui je me souviens. J'observe le passé, j'entrevois l'avenir.

«I'll see you on the dark side of the moon.»

mercredi, décembre 21, 2005

En manque de Toi.

Oué en manque de toi.
Ça fait un moment que je t'ai pas vue.
J'ai envie de te voir, enfin.
Je le sais que tu es là.
Je le sens.
En manque de toi, en manque de voix. Je cri ton nom mais il demeure étranger. Où es-tu? Je te cherche.
En manque de toi.
Où es-tu?



Toi, mon petit GuadZi,

reviens-moi

Signé : un étranger

dimanche, décembre 18, 2005

En manque de moi.

Je suis en manque.
Je suis en manque de tout le monde, parceque je vois tout le monde. Mais si je vois tout le monde je me met à moin voir tout le monde. Donc je ne voit plus personne. Si je ne vois plus personne mon manque grandira. Alors je vois tout le monde.

Mais je suis en manque d'eux, je les oublie, je cherche.

J'oublie, j'ai oublié, je cherches.

Je m'oubli, je me suis oublié, je me cherche.

Je me cherche à travers tout le monde. Mais comme je vois tout le monde, je ne vois plus personne. Je ne me vois plus. Je suis en manque... Je suis en manque de moi.

vendredi, décembre 16, 2005

Les larmes que l'on pleure

Ce texte vient de mon petit Vinny Gambini, il voulait que je publie son texte en hommage à son grand père décédé.

Hats off Vinny.




N'oubliez jamais de dire "Je t'aime". Ces simples mots sont les plus importants que vous direz de toutes votre vie. Lorsque l'on perd quelqu'un qu'on aime, on se rend compte qu'on ne lui à jamais assez dit. Qu'on ne l'a pas assez visité ces dernières années. C'est à ce moment que l'on se mets à pleurer. On pleure pour les bons moments qu'on a passé avec lui, on pleure à cause des moments que l'on aurait pu vivre avec lui et ou on avait mieux à faire. Surtout, on pleure parce que lorsqu'on a su qu'il était trop tard, on n'a pas eu la force de venir lui dire ces simples mots.

Grand-papa, je t'aime et je suis désolé de ne pas être venu te voir plus souvent. T'as toujours été un modèle pour moi. Tu as été un grand homme, je suis fier de faire partie de ta descendance. Je sais comment était important pour toi que notre nom continu d'être porté et étant le premier de tes petits enfants à pouvoir le transmettre, je te fais le serment que je vais le transmettre. Je t'aime Grand-papa.

Les larmes que l'on à la mort d'un parent sont les premières que l'on verse sans lui.

samedi, décembre 10, 2005

Adam et Ève

Peut-être qu’on est des âmes soeurs ou pt’être qu’on est juste amis
Mais ça serait-tu déplacé si je t’amenais dans mon lit ou ailleurs
Quelque part, pourvu qu’on s’touche

J’veux pas penser trop loin ça me donne mal à la tête
Pt’être que t’es mon âme soeur ou peut-être juste une amie
Mais à soir, je t’amène au huitième ciel

J’aime pas ce qui est formel ça tue les mystères
J’aime c’qui descend du ciel, j’ai besoin d’y croire
T’es belle, t’as des ailes, légère comme l’air

La vie est encore jeune, l’amour encore un rêve
Mais j’veux bien m’endormir pis rêver à toi, à nous deux
Quelque part au huitième ciel

Faisons l’amour sous le ciel
Abrillés par un drap d’étoiles
C’est toi le sens du mot belle
Aimons-nous jusqu’au soleil
Faisons l'amour sous le ciel
Abrillés par un drap d'étoiles
C'est toi le sens du mot belle
Aimons-nous jusqu'au soleil

Avant d’prédire la suite faudrait s’introduire
Au milieu d’un nulle part, juste s’évanouir encore,
Un peu, pourvu qu’on s’couche

Le hasard est la blague du clown qui déconne
Pt’être que t’es mon âme soeur, pt’être que t’es pas la bonne
Mais nous deux, y me semble que ça sonne mieux

Faisons l’amour sous le ciel
Abrillés par un drap d’étoiles
C’est toi le sens du mot belle
Aimons-nous jusqu’au soleil
Faisons l'amour sous le ciel
Abrillés par un drap d'étoiles
C'est toi le sens du mot belle
Aimons-nous jusqu'au soleil

J’veux sentir ton âme épier la mienne
J’veux que la nuit s’étende jusqu’au bout du monde
J’veux qu’la planète nous appartienne
J’veux qu’la vie soit vierge, j’voudrais qu’on soient comme
Adam et Ève, Adam et Ève, Adam et Ève, Adam et Ève, Adam et Ève, Adam et Ève

J'veux sentir ton âme épier la mienne
J'veux que la nuit s'étende jusqu'au bout du monde
J'veux qu'la planète nous appartienne
J'veux qu'la vie soit vierge, j'voudrais qu'on soient comme
Adam et Ève, Adam et Ève, Adam et Ève, Adam et Ève, Adam et Ève, Adam et Ève

*Kaïn, Nulle Part Ailleurs

Comme dans l’temps

Qu’est-ce que tu dirais si j’te disais que ça file pas fort
Q’j’ai l’impression d’aller nulle part
J’passe te prendre pour un trip de char
Rouler sans but, prendre le bord

Boire une rivière
Closer queks bars dormir dehors
Étirer un peu l’éphémère
Pas attendre qu’on soit raides mort
Pour se voir

Y’m’semble qu’on est dû pour se boire
Une couple de verres dans l’blanc des yeux
Se dire qu’on s’aiment après queks bières
J’m’ennuie d’nous deux, de toi mon vieux

Comme dans l’temps
Comme dans l'temps
Comme dans l'temps

Le monde vit mal,
Étouffé par peur d’anormal
Correctement politisé
Légalisons l’illégalité
Le temps d’une virée...

Y’m’semble qu’on est dû pour se boire
Une couple de verres dans l’blanc des yeux
Se dire qu’on s’aiment après queks bières
J’m’ennuie d’nous deux, de toi mon vieux

Comme dans l’temps
Comme dans l'temps
Comme dans l'temps

Comme dans l'temps
Comme dans l'temps
Comme dans l'temps

Comme dans l'temps
Comme dans l'temps

*Kaïn, Nulle Part Ailleurs

dimanche, décembre 04, 2005

Les valeureux guerriers.

Il était une fois un peuple de valeureux guerrier. Ils étaient peu nombreux, mais ils étaient forts et vaillants. Ils connurent la grande guerre. Les plus valeureux d'entre eux n'avaient jamais abandonner, mais l'ennemi était en supériorité numérique trop importante. La défaite leur déchira le coeur. Ils gardèrent le goût amer de la défaite sur les lèvres longtemps après leur chute.

Dans leurs jours de gloire, ils se réunissaient tôt tous les matins dans leur camp pour préparé les batailles de la journée puis se séparaient accomplir leurs missions. Ils revenaient au campement le soir une fois leurs actes accomplis. Pour se redonner du courage ils fêtaient toute la soirée. Ils buvaient et s'aimaient comme des fous. La nuit était souvent courte et les matins difficile, mais leurs courage ne ternissait pas. Jusqu'à la grande défaite...

Hier, j'ai appris que ces guerriers n'étaient pas mort...NOUS n'étions pas mort... Une autre bataille nous attendait. Nous avons appris que la guerre n'est jamais réellement fini, il n'y a que les justification de cette dernière qui change.

En souvenir des temps immémoriaux, la veille du combat nous avons fêter pour nous donner du courage, et quel fête! Bien blotti dans notre ancien camp, là où les murs suintent des souvenirs de grandes batailles. De nouveau guerrier, moin expérimenté s'était join à nous et presque tous les héros de la dernière guerre étaient revenu, comme tombé du ciel, pour se battre à nos cotés. La nuit a été courte et le matin difficile. Nous nous sommes battu, côte à côte, armes au poings et brandies bien haut dans les airs. Criant nos chants de guerre jusqu'à en perdre la voix.

Pourtant il manquait quelquechose, nous ne nous battions pas pour la même cause, le gout de défaite sur le boud des lèvre était encore là. Ô coeurs écorcher de mes braves guerriers, l'occasion de remporter la victoire se représentera de nouveau, et nous serons là.


En l'honneur des tous les combattants de Mars 2005 qui étaients là,
En mémoire de Montebello,
En mémoire de Fullum,
En mémoire des occupes,
En mémoire des manifestations,
«Bang-Arounnnnnnnnnnnnnd»